Retrouvez directement sur notre site les Unes du 07 décembre 2015 des principaux journaux d’information.
EN DIRECT - Selon les premiers résultats des régionales 2015 donnés par les instituts de sondage, Valérie Pécresse obtiendrait en Île-de-France entre 30,5 et 31% des suffrages devant Claude Bartolone (25%). Le Front national arriverait en tête de 6 régions : le Nord-Pas de Calais-Picardie, Paca, Alsace-Lorraine-Champagne Ardenne, Centre, Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et Bourgogne-Franche-Comté.
Au soir du 6 décembre, le Front national arrive en tête du premier tour des élections régionales dans six régions (sur treize), avec près de 30 % des suffrages à l’échelle de la France métropolitaine. En région Paca, Marion Maréchal-Le Pen, tête de liste FN, est à plus de 40 % comme Marine Le Pen dans sa région. Dans ces deux régions, le PS retire ses listes. Nicolas Sarkozy refuse de son côté tout retrait ou fusion de liste avec le PS.
EN DIRECT - Selon les premiers résultats des régionales 2015 donnés par les instituts de sondage, Valérie Pécresse obtiendrait en Île-de-France entre 30,5 et 31% des suffrages devant Claude Bartolone (25%). Le Front national arriverait en tête de 6 régions : le Nord-Pas de Calais-Picardie, Paca, Alsace-Lorraine-Champagne Ardenne, Centre, Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et Bourgogne-Franche-Comté.
Le FN a capté autour de 30 % des suffrages nationalement, devançant la droite (près de 27 %) et le PS (environ 23 %), selon les dernières estimations.
Au soir du 6 décembre, le Front national arrive en tête du premier tour des élections régionales dans six régions (sur treize), avec plus de 28% des suffrages à l’échelle de la France métropolitaine. En région Paca, Marion Maréchal-Le Pen, tête de liste FN, est à plus de 40 % comme Marine Le Pen dans sa région. Dans ces deux régions, le PS retire ses listes. Nicolas Sarkozy refuse de son côté tout retrait ou fusion de liste avec le PS.
INFOGRAPHIE - Le parti de Marine Le Pen arrive en tête dans six régions. Sans éclat, Les Républicains devancent les socialistes, mais voient leurs espoirs de conquête fortement revus à la baisse.
Le FN a capté près de 28 % des suffrages nationalement, devançant la droite (un peu moins de 27 %) et le PS (environ 23 %).
Dans sa région Picardie-Nord-Pas-de-Calais et au niveau national, Marine Le Pen fait la course en tête écrasant la droite et la gauche…
Cambadélis a créé la surprise en annonçant le retrait de ses candidats dans les régions où Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen peuvent l’emporter.
Le parti d’extrême-droite a capté près de 28 % des suffrages, devançant la droite (un peu moins de 27 %) et le PS (environ 23 %).
INFOGRAPHIE - Le parti de Marine Le Pen arrive en tête dans six régions. Sans éclat, Les Républicains devancent les socialistes, mais voient leurs espoirs de conquête fortement revus à la baisse.
Le FN a pioché très largement dans l’électorat de droite… Des chutes spectaculaires depuis les départementales. Panorama des dégâts.
Les quotidiens reviennent sur les résultats du premier tour des régionales : «Le FN est aux portes du pouvoir» pour «Le Parisien».
Le premier tour des régionales laisse le pays en état de choc. Il doit conduire la Nomenklatura française à un examen de conscience.
INFOGRAPHIE - Le parti de Marine Le Pen arrive en tête dans six régions. Sans éclat, Les Républicains devancent les socialistes, mais voient leurs espoirs de conquête fortement revus à la baisse.
Le Front national est arrivé en tête de six régions au premier tour. Le PS retire ses listes dans trois régions : en PACA, en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Alsace.
Après l’annonce de Mario Draghi, les Bourses ont chuté. La décision du président de la Banque centrale européenne était pourtant judicieuse et avisée…
Le Front national est arrivé en tête de six régions au premier tour. Le PS retire ses listes dans trois régions : en PACA, en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et dans le Grand Est.
De tous les vaincus de ce premier tour des régionales, il en est un qui est particulièrement défait : Nicolas Sarkozy. L’écrasante victoire du FN montre combien le retour de l’ancien chef d’État est un échec. En un an et demi, il n’aura rien su faire d’autre que tirer son parti vers le bas.
Selon une étude OpinionWay, les enjeux locaux ont dominé dans les raisons du vote du 6 décembre, sauf pour les électeurs du Front national.| 3
INFOGRAPHIE - Le parti de Marine Le Pen arrive en tête dans six régions. Sans éclat, Les Républicains devancent les socialistes, mais voient leurs espoirs de conquête fortement revus à la baisse.
Juste après l’annonce des résultats du premier tour, il a diffusé sur son compte Twitter une vidéo d’Estrosi dansant avec des juifs. 3
Après le premier tour des élections régionales, le FN est devant au niveau national et dans six régions. Le PS, grand perdant, a décidé de retirer ses listes en Paca et Nord-Pas-de-Calais-Picardie. La question se pose aussi dans le Grand Est.
François Hollande a perdu. Le PS n’aura plus que quelques régions dimanche prochain. Mais le chef de l’Etat se projette déjà dans la présidentielle de 2017. Avec un FN fort et une droite sans ressort, les résultats de dimanche soir confirment sa stratégie: être le seul rempart « républicain » face à Marine Le Pen.
François Hollande a perdu. Le PS n’aura plus que quelques régions dimanche prochain. Mais le chef de l’État se projette déjà dans la présidentielle de 2017. Avec un FN fort et une droite sans ressort, les résultats de dimanche soir confirment sa stratégie : être le seul rempart « républicain » face à Marine Le Pen.
Jean-Christophe Cambadélis intime le candidat du PS en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne de respecter la décision du Bureau national.
Le Front national est arrivé en tête de six régions au premier tour. Le PS retire ses listes dans deux régions : en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
Louis Aliot (FN) et Carole Delga (PS) vont se disputer les électeurs du politologue Dominique Reynié (LR), le grand battu de ce premier tour.
Après le premier tour des élections régionales, le FN est devant au niveau national et dans six régions. Le PS, grand perdant, a décidé de retirer ses listes en Paca et Nord-Pas-de-Calais-Picardie. La question se pose aussi dans le Grand Est.
Le Front national est arrivé en tête de six régions au premier tour. Le PS retire ses listes dans deux régions, en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Le candidat du Grand Est refuse de suivre ces consignes.
Sur RTL, la présidente du FN se félicite de «l’incroyable dynamique» de son parti. Marine Le Pen envisage la victoire dans plusieurs régions.
Le Front national est arrivé en tête de six régions au premier tour. Le PS retire ses listes dans deux régions, en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Le candidat du Grand Est refuse de suivre ces consignes.
Le FN est arrivé en tête de six régions, e PS retire ses listes dans deux régions (PACA et Nord-Pas-de-Calais-Picardie), mais son candidat dans le Grand Est refuse de suivre les consignes. Posez vos questions à la rédaction du Monde.
Kouachi, Abdeslam, Clain…, c’est ensemble qu’ils sont passés à l’acte. Deux spécialistes expliquent pourquoi il y a tant de frères parmi les terroristes.
Après le premier tour des élections régionales, le FN est devant au niveau national et dans six régions. Le PS, grand perdant, a décidé de retirer ses listes en Paca et Nord-Pas-de-Calais-Picardie. La question se pose aussi dans le Grand Est. À droite, certaines voix déplorent l’absence de leadership.
A droite comme à gauche, la ligne dictée par les directions fait grincer des dents, certains appellant même publiquement à ne pas la respecter.
Malgré les résultats du premier tour des régionales, le porte-parole du gouvernement a estimé sur Europe 1 que la gauche gardait toutes ses chances. 6
Largement battu au premier tour des élections régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Le suspense demeure dans le Grand Est où le candidat n’entend pas laisser la place. À droite, le bureau politique qui définira la ligne des Républicains se tient à partir de 11 heures.
On assiste en Normandie à une spectaculaire progression du Front national par rapport à 2010. Le parti d’extrême droite est en tête dans l’Orne et l’Eure.
A droite comme à gauche, la ligne dictée par les directions fait grincer des dents, certains appelant même publiquement à ne pas la respecter.
Au lendemain du premier tour, c’est l’ensemble de la classe politique qui doit se poser les bonnes questions face à la flambée du FN.
Au lendemain du premier tour, c’est l’ensemble de la classe politique qui doit se poser les bonnes questions face à la flambée du FN.| 2
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Le suspense demeure dans le Grand Est où le candidat n’entend pas laisser la place. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
A droite comme à gauche, la ligne dictée par les directions fait grincer des dents, certains appelant même publiquement à ne pas la respecter.
Au lendemain du premier tour, c’est l’ensemble de la classe politique qui doit se poser les bonnes questions face à la flambée du FN.| 10
La position défendue par Nicolas Sarkozy a été validée à la quasi-unanimité par le bureau politique. Seules deux personnes ont contesté cette ligne : Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin.
Les Républicains ont validé la stratégie de second tour proposée par Nicolas Sarkozy, à l’exception de Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin.
La position défendue par Nicolas Sarkozy a été validée à la quasi-unanimité par le bureau politique. Seules deux personnes ont voté contre : Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin.
Arrivée en troisième position en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, la tête de liste de la droite ne se retire pas pour le second tour. Entretien.| 5
La position défendue par Nicolas Sarkozy a été validée à la quasi-unanimité par le bureau politique. Seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’y sont opposé.
Le maire de Nice repart en campagne et a visité Vitrolles, ancienne municipalité du Front national. Un parti qu’il estime comme l’héritier «du pétainisme».
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Le suspense demeure dans le Grand Est où le candidat n’entend pas laisser la place. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
Le maire de Nice repart en campagne et a visité Vitrolles, ancienne municipalité du Front national. Un parti qu’il estime comme l’héritier «du pétainisme». 4
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Le suspense demeure dans le Grand Est où le candidat n’entend pas laisser la place. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
La tête de liste PS en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, arrivé troisième, va, de fait, perdre l’investiture socialiste.
Les Républicains ont validé la stratégie de second tour proposée par Nicolas Sarkozy, à l’exception de Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin. 12
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Dans le Grand Est, le candidat a décidé de se maintenir. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
Le candidat du PS en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne refuse de se retirer pour faire barrage au Front national, malgré les consignes du Parti socialiste.
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Dans le Grand Est, le candidat a décidé de se maintenir. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
Le candidat du PS, Jean-Pierre Masseret, refuse de se retirer pour faire barrage au Front national, malgré les consignes du Parti socialiste. 2
Dimanche soir, le frontiste a posté sur Twitter une vidéo de Christian Estrosi dansant avec des juifs. Il l’a retirée un peu plus tard dans la soirée.
Alors que le Parti socialiste se retire des régions où il est arrivé 3e, Les Républicains ont validé le «ni retrait-ni fusion» de Nicolas Sarkozy.| 1
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions. Dans le Grand Est, le candidat a décidé de se maintenir. À droite, seuls Nathalie Kosciusko-Morizet et Jean-Pierre Raffarin s’opposent à la stratégie officielle.
Editorial. Comment un parti réactionnaire et xénophobe peut-il apparaître comme un recours à plus d’un électeur sur quatre ?
Alors que le Parti socialiste se retire des régions où il est arrivé 3e, Les Républicains ont validé le «ni retrait-ni fusion» de Nicolas Sarkozy.| 2
En octobre 2014, le tribunal correctionnel de Paris avait condamné Uber France à 100 000 euros d’amende. Ce lundi, la cour d’appel a aggravé cette peine.
Largement battu au premier tour des régionales, le PS a choisi de se retirer dans deux régions pour contrer le Front national. Mais dans le Grand Est, sa tête de liste Jean-Pierre Masseret n’entend pas laisser la place, malgré les appels du pied du parti.
Un collectif de jeunes hauts fonctionnaires a imaginé le discours qu’ils auraient aimé entendre de la bouche du président au lendemain du premier tour.
Editorial. Comment un parti réactionnaire et xénophobe peut-il apparaître comme un recours à plus d’un électeur sur quatre ?
Un collectif de jeunes hauts fonctionnaires a imaginé le discours qu’ils auraient aimé entendre de la bouche du président au lendemain du 1er tour des régionales. 1
LE SCAN POLITIQUE - En décidant de se maintenir contre l’avis de la direction au second tour des régionales en Alsace-Lorraine-Chapagne-Ardenne, le sénateur met en péril 36 ans d’engagement au sein du PS.
Un électeur sur deux a boudé les urnes, un peu moins que lors du premier tour des régionales de 2010. Portrait de cette France qui va à la pêche.| 2
LE SCAN POLITIQUE - En décidant de se maintenir contre l’avis de la direction au second tour des régionales en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, le sénateur met en péril 36 ans d’engagement au sein du PS.
Alors que la fille de Jean-Marie Le Pen a construit son discours sur la question sociale, l’autre met en avant «l’identité chrétienne» de la France.
Alors que la fille de Jean-Marie Le Pen a construit son discours sur la question sociale, l’autre met en avant «l’identité chrétienne» de la France. 2
Le Parti socialiste garde espoir, malgré la poussée historique du Front national. De leur côté, Les Républicains ont validé le «ni retrait-ni fusion» de Sarkozy.| 10
LE SCAN POLITIQUE - Arrivés en troisième position dimanche, les candidats socialistes en Paca et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie ont retiré leurs listes. Une décision lourde, tant sur le plan politique que financier.
Le Parti socialiste garde espoir, malgré la poussée historique du Front national. De leur côté, Les Républicains ont validé le «ni retrait-ni fusion» de Sarkozy.| 11
LE SCAN POLITIQUE - Arrivés en troisième position dimanche, les candidats socialistes en Paca et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie ont retiré leurs listes. Une décision lourde, tant sur le plan politique que financier.
Le vote Front national devient « un vote de plus en plus national » et « inter-classiste ». C’est ce qu’estiment cinq chercheurs de l’Observatoire des radicalités politiques (ORAP) de la fondation Jean Jaurès. Dans une analyse fine des résultats, ils mettent en évidence « l’hégémonie culturelle » de l’extrême droite, l’échec de la « stratégie Buisson » de la droite et l’aveuglement de la gauche.
Au lendemain de la victoire du Front national aux régionales, les Allemands brossent de notre pays et de ses politiciens un portrait peu reluisant.| 2
Claude Bartolone, Emmanuelle Cosse et Pierre Laurent ont « trouvé un accord en vue de la fusion des trois listes »pour le second tour des régionales.
À l’instar de Mathieu Klein, le chef de file de la gauche nancéienne, plusieurs têtes d’affiche socialistes militent pour le retrait du candidat.
Claude Bartolone, Emmanuelle Cosse et Pierre Laurent ont « trouvé un accord en vue de la fusion des trois listes » pour le second tour des régionales.
Le vote Front national devient « un vote de plus en plus national » et « inter-classiste ». C’est ce qu’estiment cinq chercheurs de l’Observatoire des radicalités politiques (ORAP) de la fondation Jean-Jaurès. Dans une analyse fine des résultats, ils mettent en évidence « l’hégémonie culturelle » de l’extrême droite, l’échec de la « stratégie Buisson » de la droite et l’aveuglement de la gauche.
À l’instar de Mathieu Klein, le chef de file de la gauche nancéienne, plusieurs têtes d’affiche socialistes militent pour le retrait du candidat.| 3
L’ancien ministre regrette que la fusion des listes de droite et de gauche n’ait pu se faire dans certaines régions, en raison de l’hostilité de la droite.| 12
La tête de liste PS en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, arrivée troisième, va, de fait, perdre l’investiture socialiste.
Avec 18 % des bulletins exprimés, le candidat Gilles Pennelle réalise l’un des moins bons scores du parti d’extrême droite, toutes régions confondues.
Alors que le Front national arrive en tête dans six régions sur treize et devance la droite, le PS a lui annoncé son retrait en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Paca et dans le Grand Est.
Le score historique du Front national pousse des candidats PS à lui faire barrage. De leur côté, Les Républicains ont validé le «ni retrait-ni fusion» de Sarkozy.| 24
Le FN confirme sa dynamique en obtenant 6,02 millions de voix au premier tour des régionales. Un choc pour les partis de gouvernement.
Largement battu au premier tour des régionales, le PS se retire dans deux régions pour contrer le Front national. Dans le Grand Est, sa tête de liste Jean-Pierre Masseret n’entend pas laisser la place. Les Républicains ont de leur côté entériné le «ni-ni».
Les listes de gauche ont fusionné en Ile-de-France. Dans le Grand Est, le candidat PS se maintient, alors que les listes socialistes se sont retirées en PACA et dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
VIDÉO. Une passe d’armes entre Gilbert Collard et Jean-Marie Le Guen, une autre entre Christian Estrosi et Jean-Jacques Bourdin et un candidat socialiste qui refuse de se retirer… L’actu du jour.| 2
Les listes de gauche ont fusionné dans plusieurs régions. Dans le Grand Est, le candidat PS se maintient, alors que les listes socialistes se sont retirées en PACA et dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
VIDÉO. Une passe d’armes entre Gilbert Collard et Jean-Marie Le Guen, une autre entre Christian Estrosi et Jean-Jacques Bourdin et un candidat socialiste qui refuse de se retirer… L’actu du jour.| 3
Le premier secrétaire du Parti socialiste appelle les électeurs à voter pour Philippe Richert (Les Républicains), alors que le candidat socialiste Jean-Pierre Masseret a déposé sa liste lundi pour le second tour, refusant de se retirer malgré une triangulaire avec le Front national.
Les listes de gauche ont fusionné dans plusieurs régions. Dans le Grand Est, le candidat PS se maintient, alors que les listes socialistes se sont retirées en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
Le candidat Jean-Pierre Masseret a affirmé avoir échangé des SMS avec le Premier ministre «qui est un ami» et lui demandait de se retirer.
Le premier ministre veut faire barrage au Front national en PACA, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine. Les listes PS se sont retirées dans les deux premières régions, mais Jean-Pierre Masseret s’est maintenu dans le Grand Est.
Le Premier ministre est invité du 20 heures de TF1, au lendemain du premier tour des élections régionales. Suivez son intervention en direct.
Le premier ministre appelle les électeurs à voter pour les candidats de droite en Paca, Nord-Pas de Calais-Picardie et Grand Est afin d’empêcher le Front national de l’emporter au second tour des élections régionales.
Le PS s’est retiré en PACA et en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. En Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, le socialiste Jean-Pierre Masseret s’est maintenu en dépit des consignes de son parti.
Le Premier ministre était invité du 20 heures de TF1, au lendemain du premier tour des régionales. Il a appelé à voter pour les candidats de droite face au FN.
Le Premier secrétaire du PS a appelé, à voter pour le candidat Les Républicains, au second tour des régionales. Le candidat du PS, refuse de retirer sa liste.
La candidate FN en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a affirmé que si elle est élue à la tête de la région, elle resterait «jusqu’à ce qu’elle soit présidente».
Le premier ministre appelle les électeurs à voter pour les candidats de droite en Paca, Nord-Pas de Calais-Picardie et Grand Est afin d’empêcher le Front national de l’emporter au second tour des élections régionales.
Manuel Valls a appelé à voter à droite dans trois régions pour faire barrage au Front national, grand vainqueur du premier tour des régionales.
La candidate FN en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a affirmé que si elle était élue à la tête de la région, elle resterait «jusqu’à ce qu’elle soit présidente».
Pourquoi le PS a-t-il décidé de retirer ses listes arrivées en troisième position pour faire barrage au FN tandis que les Républicains se refusent à toute fusion ou à tout retrait ?
Retrait de mauvaise grâce en Paca, maintien contre l’avis du parti dans l’Est: la stratégie du «barrage républicain» fait grincer des dents.
Claude Bartolone (PS), Emmanuelle Cosse (EELV) et Pierre Laurent (Front de gauche) ont annoncé lundi la fusion de leurs listes dans cette région. 11
Claude Bartolone (PS), Emmanuelle Cosse (EELV) et Pierre Laurent (Front de gauche) ont annoncé lundi la fusion de leurs listes dans cette région. 13
Le président des Républicains a déclaré respecter la décision du PS de se retirer dans trois régions, précisant que son parti n’avait «rien demandé".
LE SCAN POLITIQUE - Invité du 20H de TF1 lundi soir, le premier ministre a clairement appelé à «être à la hauteur» pour empêcher le Front national de l’emporter en Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Grand-Est.
En dépit d’une ligne commune «ni retrait ni fusion», les dissonances se font entendre au sein du parti de Nicolas Sarkozy, déjà agité par la primaire.
Sur Twitter, l’animateur à succès n’avait pas caché sa colère contre les journalistes et les politiques. Il s’en est expliqué ce lundi, sans regret.| 12
L’ancien Premier ministre estime que le centriste peut remporter le second tour en Normandie. Il fera face à un candidat du PS et un du FN.
LE SCAN POLITIQUE - Invité du 20H de TF1 lundi soir, le premier ministre a clairement appelé à «être à la hauteur» pour empêcher le Front national de l’emporter en Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Grand-Est.
Ils ont été 32 % à voter pour les listes du Front national contre 27,7 % pour l’ensemble des Français, révèle une étude Ifop, publiée ce lundi. 8